Les fils tenseurs crantés résorbables pour rehausser les traits du visage
A l’aide d’une aiguille, le chirurgien insère d’un à quatre fils de chaque côté du visage pour corriger le relâchement. Certains pros du bistouri s’y mettent, mais refusent de parler d’alternative au lifting. La Sofcep (Société française des chirurgiens esthétiques plasticiens) vient de lancer une étude pour évaluer les avantages et les inconvénients de ce procédé (comme les plis des oreilles) la durée de la correction ainsi que le moyen d’éviter les complications.
Le lipofilling ou les micro greffes de graisse sont destinés à restaurer le volume du visage. Au fait, la graisse autologue (c’est-à-dire prélevée sous anesthésie locale au niveau du ventre, de la cuisse ou du genou de la patiente) est transformée en graisse ultrafine puis transférée dans une micro canule perforée. Le chirurgien l’injecte comme de l’acide hyaluronique dans les rides du front ou des sillons nasogéniens. Le résultat est plus durable (jusqu’à plusieurs années) qu’un produit de comblement, la qualité de la peau est améliorée et les risques de réaction ou d’imperfections sont minimes.
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Cela consiste à injecter de manière superficielle de l’acide hyaluronique très fluide jusqu’à ce que la peau blanchisse pour atténuer, par exemple, les ridules au-dessus de la lèvre supérieure sans apporter de volume. Un traitement minutieux, donc long.
Le méso-laser serait l’alternative à la mésothérapie. Le médecin fait des micro-trous au laser CO2 fractionné avant d’injecter un mix de vitamines et d’acide hyaluronique sur la zone ciblée (visage, décolleté, dos des mains). Trois ou quatre séances seraient nécessaires pour stimuler la synthèse de collagène et améliorer l’éclat du teint, la texture et l’hydratation de la peau.