C’est une mode qui ne cesse d’évoluer, avoir des fesses fermes et bien rondes est le must depuis quelques années.
Et si tous les hommes (ou presque) voulaient avoir la place de Ben Afleck auprès de Jennifer Lopez ce n’est pas pour l’esthétique de ses fesses, d’après une étude scientifique, les hommes sont instinctivement attirés par les femmes minces aux hanches larges avec des fesses bien rondes.
Il parait que le subconscient masculin interprète la taille fine d’une femme comme étant un signe de disponibilité, et les hanches larges signifient que la personne est fertile et peut accoucher sans problème.
C’est la théorie du chercheur en psychologie évolutionniste Gordon Gallup, comme quoi, c’est la procréation et la survie de l’espèce qui dicte les critères de beauté.
Plusieurs stars ont surfé sur cette vague faisant de leurs fesses un moyen d’attirer et les fans et l’argent.
Face à la théorie de Gordon Gallup et à la mode plébiscité par Kim Kardashian, la gente féminine s’est prise au jeu, ainsi pour avoir de belles fesses, le recours à la chirurgie esthétique est devenue quasi systématique l’essentiel c’est d’avoir des fesses pleines, bien rondes, et remontées.
D’ailleurs, d’après la American Society of Plastic Surgeons (ASPS), on note une augmentation de la demande en lipofilling des fesses de l’ordre de 15% entre 2013 et 2014 (11505 interventions), mieux encore le nombre d’intervention de lifting de fesses en 2014 est de 3505 soit 44% de plus qu’en 2013.
Mais la hausse la plus importante a été enregistrée par l’augmentation des fesses par mise en place d’implant soit 98% en une année avec 1863 interventions.
Contre toute attente, la gente masculine ne boude pas le plaisir d’avoir des fesses fermes.
D’ailleurs, de façon général, l’homme n’a plus peur de passer par la chirurgie esthétique pour affiner son physique, ainsi depuis le début du troisième millénaire avec la vague de métrosexualité avoir recours à des produits cosmétiques n’est plus tabou.
Même si l’augmentation fessière n’est toujours pas un recours fréquent chez l’homme, d’après l’étude de l’ASPS, on note une augmentation de 29% dans les interventions de réduction mammaire soit 26175 opérations en 2014 mais surtout une augmentation de 280% avec 1054 hommes qui ont recours à la mise en place d’implant pectoraux.